13 Set Comment combattre, à table, les amas graisseux localisés sur les jambes ?

Avoir des jambes fines est le rêve de toutes les femmes. Malheureusement, en raison de mauvaises habitudes alimentaires, nous nous retrouvons souvent à devoir lutter contre des accumulations de graisse sur les cuisses et au-delà.

Que pouvons-nous faire pour améliorer la condition?

Tout d’abord, il est important d’intervenir avec un régime visant à perdre du poids et avec une activité physique modérée, en nous aidant, en parallèle, avec des traitements esthétiques ou médico-esthétiques, qui peuvent faire de vrais miracles.

Les aliments qui aident à drainer

Pour avoir des jambes fines, il faut suivre une alimentation riche en aliments drainants, en antioxydants et surtout en minéraux comme le potassium, élément très utile pour drainer les liquides et réduire les gonflements.

Nous pouvons le trouver dans des aliments tels que les pêches, les bananes, les tomates, les abricots, les pastèques, les melons, les épinards, les artichauts, les betteraves et la citrouille.

Les infusions sont utiles (pour drainer efficacement déchets et toxines), notamment celles à base de fenouil, thé vert, gingembre et ortie à consommer, non sucrées, aussi bien chaudes que froides (excellentes à emporter en saison estivale).

Les antioxydants présents en grande quantité dans les mûres, les mangues, le pamplemousse rose, la grenade et les myrtilles sont également fondamentaux : des composés puissants capables d’améliorer la circulation sanguine.

En plus de l’activité physique et d’une alimentation adéquate, les professionnels de l’esthétique et de la médecine esthétique ont développé ces dernières années divers traitements efficaces pour réduire l’adiposité localisée; parallèlement, la technologie d’analyse a également évolué ce qui, grâce à la thermographie de contact, a permis d’examiner et de classer au mieux ces problèmes.

L’analyse thermographique, grâce à l’utilisation d’une plaque spéciale à cristaux liquides microencapsulés, permet d’avoir une image couleur haute définition, qui reflète la situation des tissus sous-jacents : de cette manière, il est possible de distinguer l’adiposité molle de celle durcie, ainsi que de pouvoir classer la cellulite dans l’un de ses quatre stades (absente, oedémateuse, fibreuse, sclérotique).

Compte tenu de sa très grande sensibilité, il est possible d’évoluer dans une optique préventive, car le système est capable de montrer les toutes premières accumulations alors qu’elles ne sont pas encore visibles à l’œil nu ou détectables à la palpation. Nous parlons donc d’une analyse totalement exempte de contre-indications, non invasive et pouvant être effectuée par n’importe qui de manière simple, rapide et confortable.